Prières

Mes premières connexions à l’âme remontent à mon enfance.

Des moments dans la nature, à regarder les arbres, la mer, des vagues sur les rochers.

Ensuite à l’adolescence, une veillée de prière particulièrement inspirante.

Depuis, dans cette crise personnelle et familiale que fut le burnout, je me suis souvent reconnecté à cette énergie.

Dans l’espace d’un moment introspectif, au calme : Reprendre ma semaine en me demandant « qu’est-ce que j’aurais fait différemment dans l’énergie de l’amour ».

Retrouver du paisible. Appelons ce lieu de paix, la présence universelle, à laquelle nous pouvons être absent mais qui n’est jamais absente.

Méditation

On vous conseille, on vous enjoint à méditer.

OK, mais pourquoi méditer ? Quelle intention donner à sa méditation ?

La version grand public : la méditation est une forme de gestion du stress. Notons que les deux termes ont une connotation négative : 1. gérer et 2. le stress. Quel est le résultat de cela ? On est dans une recherche de résultat et finalement, on reste dans l’énergie du problème.

La méditation n’est pas faite pour cela.

L’intention de la méditation, je crois, est de développer son intuition. Il s’agit alors de se connecter à soi-même. A l’enfant, à l’infini, à la vague, au lac intérieur. Un lieu calme, confiant et serein.

Qui permet de retrouver énergie et force. Remettre ma couronne !

En résumé la méditation est un moyen de développer mon intuition. Pas de gérer le stress.

(Ap)Prendre ses responsabilités

Le lâcher prise, c’est le serpent de mer, la tarte à la crème, le truc que tout le monde te dit.

Pas si simple quand il s’agit de ton enfant…

Si j’en étais capable, je l’aurais fait il y a longtemps !

Et puis, il a été question pour moi d'apprendre cela, à être responsable.

Une bonne lecture : « Lâcher prise » par Guy Finley. J'y ai appris que nous ne sommes pas nos pensées. Que nos émotions passent à travers nous comme l’eau à travers un tuyau. Il suffit d’attendre qu’elles passent.

C’est une manière de voir les choses très utile et intéressante à appliquer pour soi.

D’autres formulations sont venues :

À quel point veux-tu être vivant ?

Que ferait le jeune ado que tu étais ?

Lâcher prise, c’est aussi se connecter à l’enfant, à l’ado que j'étais.

Regarder la situation dans laquelle je me trouve avec les yeux de cet enfant.

10 ans après, je me sens encore blessé...